Notre engagement écologique
Promotion des papiers recyclés, réutilisation de nos ordinateurs avant leur recyclage, semaine de 4 jours et promotion du transport en commun. Nous mettons la main à la roue pour l’environnement.
Papier écologique fabriqué localement
Chez Mardigrafe, nous faisons la promotion active de la gamme de papier écologique Enviro100 auprès de nos clients. Ce papier est produit localement, à l’usine Rolland de Saint-Jérôme. Il est fabriqué exclusivement avec de la pâte contenant 100 % de fibre recyclée et à l’aide d’une énergie verte issue des biogaz récupérés d’un site d’enfouissement des déchets. Ce papier est blanchi sans chlore ni acide. Chaque fois qu’une tonne de ce papier est utilisée au lieu d’une autre, 17 arbres matures sont sauvés. Depuis l’avènement du papier recyclé 100 % post-consommation, toutes nos épreuves intermédiaires sont réalisées sur papier Enviro100. Pour nos besoins administratifs, nous n’imprimons que le strict nécessaire et nous utilisons les deux côtés de la feuille !
Papiers sans traitements chimiques
Nous encourageons nos clients à choisir des papiers non couchés et des cartons non laminés en leur expliquant les impacts de ces procédés sur l’environnement. Nous offrons toute la gamme des reliures, incluant la reliure spirale écologique. Nous sommes toujours prêts à présenter des solutions de rechange attrayantes et plus douces pour la planète.
Économies de matériel et d’énergie
Depuis 2004, Mardigrafe s’est dotée de presses numériques qui permettent d’offrir l’impression à petit et à moyen tirage. Ceci permet à nos clients de n’imprimer que les quantités dont ils ont réellement besoin. Par souci écologique, nous souhaitons éviter les déplacements inutiles. Aussi nous recourons systématiquement aux épreuves PDF transmises par Internet, et nous avons accru notre coordination des envois dans le but de diminuer le recours aux messagers. Notre planification des achats nous permet également de diminuer le kilométrage consacré au transport des biens.
Encres écologiques et économies de toner
Nous encourageons l’utilisation d’encres écologiques ne contenant ni solvants (composés organiques volatils, ou COV) ni siccatifs (métaux lourds cancérigènes : cobalt, manganèse, mercure, plomb). Ces encres existent et sont fabriquées localement, au Québec, ce qui réduit encore plus l’impact environnemental des impressions. Nos presses numériques de pointe n’utilisent que la quantité requise et optimale de toner, et toutes les cartouches sont recyclées par le fabricant.
Nos ordis sont réutilisés
Afin de réduire notre bilan énergétique dû à l’achat de matériel informatique neuf et le problème écologique des techno-déchets, nous avons pour politique de préserver notre équipement informatique aussi longtemps que possible. Ainsi, des mises à jour logicielles permettent de maintenir le matériel en fonction, et certains appareils de production sont reconvertis en serveurs. À la fin de son cycle de vie, notre équipement obsolète est envoyé aux centres de jeunes et aux écoles ou, dans le cas où il ne peut plus être apprécié par personne, nous le livrons à notre éco-centre.
La semaine de 4 jours
À notre échelle (une petite entreprise de moins de 10 employés), nous avons mis en place la semaine de 4 jours, ce qui est une manière de réduire les encombrements de l’heure de pointe tout en permettant de mieux concilier famille et travail. En d’autres mots, cela rend la vie plus agréable à nos employés. Il s’agit d’une solution simple qui, si elle était appliquée à grande échelle, aurait un effet bénéfique sur le bilan de carbone du Québec et, nous en sommes convaincus, sur le bilan de santé aussi. Il s’agit de 20 % des déplacements en heure de pointe. Nous encourageons l’utilisation du transport en commun en payant les titres de transport mensuels de nos employés.
Maintenir le dialogue
Nous souhaitons que circule l’information en matière d’environnement. Nous discutons avec nos clients et nos fournisseurs. Nous les écoutons, nous leur parlons. Nous ne tenons rien pour acquis : nous n’hésitons pas à remettre en question régulièrement nos manières de faire. Nous participons à des colloques, à des rencontres, à des réunions. La préservation de notre environnement n’est-elle pas devenue une activité économique à part entière ?